
Afrique du Sud : Trésor lance Jacquel Dance pour propulser la musique dance africaine à l'international
L’artiste congolais basé en Afrique du Sud, Trésor, a annoncé le lancement de Jacquel Dance, une nouvelle branche de son label Jacquel Entertainment Group, dédiée à la création et à l’exportation de musique dance africaine au rayonnement mondial.
- Trésor, a annoncé le lancement de Jacquel Dance.
Cette annonce coïncide avec le 10e anniversaire de son premier album à succès VII, sorti en septembre 2015. Pour Trésor, ce projet marque un retour à un genre qui a toujours rythmé son parcours personnel et artistique. « Cette nouvelle étape rend hommage à cet héritage, à la création de pépites musicales, et à l’ambition de bâtir un label qui fait vibrer le monde, un beat à la fois », a-t-il déclaré.
Jacquel Dance se veut etre un incubateur pour les producteurs, auteurs-compositeurs et chanteurs les plus prometteurs du continent, avec une vision axée sur l’expérimentation, la collaboration et la création d’hymnes intemporels capables de résonner à l’échelle mondiale.
La naissance du label est soutenue par une première réussite d’envergure : la signature d’un contrat de licence mondiale avec Warner Music pour son nouveau single « Wale Wale », en collaboration avec la jeune étoile montante kényane Sofiya Nzau. Le titre, qui fusionne pop africaine et house émotionnelle, s’impose déjà comme un potentiel hit estival en Europe et ailleurs.
« Ce partenariat avec Warner Music n’est qu’un début. Nous voulons montrer au monde le potentiel immense de la musique dance africaine, une fois placée sur la bonne scène », a expliqué Trésor.
Artiste au rayonnement international, Trésor, a coécrit et coproduit six titres de l’album Honestly, Nevermind de Drake en 2022, dont « Currents et Tie That Binds », ce qui lui a valu une entrée remarquée à la 15e place du classement Billboard Hot 100 Songwriters. Il a également collaboré sur le titre « We Caa Done » de Drake et Popcaan, et signé un contrat d’édition mondial avec Sony Music Publishing aux États-Unis.
« Il ne s’agit pas seulement de créer un label, mais bien de construire un héritage. Nous sommes là pour écrire l’histoire », conclut-il.
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